A savoir- Les ROHINGYAS se font appeler aussi les " RAHMA", selon une anecdote très ancienne, du temps des navigateurs arabes qui étaient à la recherche de la soie, des épices et de tout ce qui méritait d'être ramené du côté de l'Inde et d'ailleurs . Intercepté du côté de la Birmanie, afin d'avoir la vie sauve, ils s'écrièrent à l'adresse de leurs adversaires belliqueux: "" ERRAHMA! ERRAHMA!"" qui veut dire en arabe ""Miséricorde! Miséricorde! "" ce qui leur a valu la vie sauve.
Cela me fait penser aux Rahmania , à notre chanteur chaâbi: RAHMA Boualem ainsi qu'à tous les RAHMA de la Rue: Mozart ,ceux de la Cité Mahieddine et tous ceux de Bordj Ben AZZOUZ( Biskra), proches parents de TAHAR LAÂDJEL ...
Je ne vous dirais pas que pour ce LIVRE un éditeur, qui a daigné me répondre, et je l'en remercie n'empêche, m'avait dit d'une manière autre qui voudrait dire ce qui suit : " vous dénoncez l'utilisation du napalm dans votre ville: Biskra en 1955, vous dénoncez Jacques Soustelle: le père des S.A.S: devenues des lieux de torture pour les Services de Renseignements, vous dénoncer l'abject assassinat de l'Héroïne: Fatma LEBSAÏRA - épouse SIDHOUM du quartier: Lotissement Ferhat , vous dénoncez encore : "" Dimanche Noir" à Biskra du temps de Moussa TRAORE................ et vous voulez que l'on vous publie? Enfin,...
A TOUS/TOUTES CEUX ET CELLES QUI PASSENT PAR CE CHEMIN DE TRAVERSE à petits pas depuis le temps et sans le moindre bruit, sans le moindre petit mot ainsi qu'à tous ceux et toutes celles, et qui sont très rares, qui passent en laissant un commentaire, un petit message, je tiens du fond de mon cœur pleureur à leur souhaiter "" UNE BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2023!""
Toujours fidèle à son Editeur: EDILIVRE, Mohamed Laïd ATHMANI nous présente cette fois-ci un recueil de nouvelles qu'il serait très intéressant de lire.
En lire un extrait , c'est toujours un commencement. Suivre le lien ci-dessous pour ce faire.
Une nouvelle intitulée ""L'ESSAIM EN EXIL"" attire notre attention: C'est une nouvelle, véritable rappel et éloge de quelques grands de la littérature maghrébine (De langue française).
Une nouvelle qui rend hommage, ne serait-ce qu'en les citant à: Charles BONN, Marie VIROLLE, Christiane ACHOUR, Simone REZZOUG, Denise BRAHIMI,Dalila MORSLY, Djamel Eddine MERDACI, Arezki METREF, Aïssa KHOLADI
Un recueil de poèmes: La Poésie Libérée et la Poésie de la Nostalgie Réveillée.
« Que ce soient les poèmes de : «La Poésie Libérée » ou ceux de : « La Poésie de la Nostalgie Réveillée » l’aventure est de mise, car aventure, il y a. Tant que l’on manipule les mots, les mots nous manipulent aussi, d’où l’aventure, bien sûr ! Sans trop vouloir aborder le phénomène de la concaténation, de l’accumulation, de l’agglutination propre au langage et, il va de soi que l’on ne puisse guère y échapper, puisque nous devenons nous-mêmes les jouets de nos propres mots, nous laissons le soin aux spécialistes de démêler les fils inextricables qui sont le propre de la poésie.
De plus, les mécanismes qui régissent notre mode de pensée sont ce qu’ils sont et ils ne peuvent être autrement. Je préfère laisser le soin à mon lecteur de découvrir par lui-même cette richesse entraînante qui, mot à mot, l’invite ainsi que tout son être au voyage.
Il est à remarquer que c’est une aventure poétique qui se veut toujours si proche de l’homme et donc aussi pour l’homme qui est au centre des préoccupations du poète qui tend toujours vers l’élévation des valeurs humaines qui se veulent les nôtres, et certainement, aussi, les vôtres.
Au niveau prosodique, nous remarquerons une certaine liberté du faire qui se doit de l’emporter sur toute obligation si on se veut « libre » ainsi que le poète quoique l’on ne soit jamais aussi libre qu’on le veuille, car les mots finissent toujours par se jouer de nous.
Du côté phonique ou mélodique, c’est notre rythme intérieur et nos états d’âme qui rythment cette écriture qui se veut libre quoique la véritable liberté n’existe réellement pas mais nous semble cependant être. Combien même nous recherchons cette liberté, une certaine écriture plus ou moins contraignante mais sincère et plus ou moins objective finit par s’imposer à nous quoique parfois si ce n’est pas très souvent la poéticité née de l’extravagance et parfois de l’impropriété même.
Si la manipulation des mots pour leur faire dire ce que l’on veut bien leur faire dire est de mise, très souvent, et à notre insu, ils nous font dire plus que ce que l’on veut leur faire dire. Et, c’est certainement là, toute la richesse des mots et du langage humain auquel tout un chacun se doit de faire la révérence.
Cet humble écrit qui se veut poétique est aussi un véritable hymne au passé le plus proche et aux hommes qui ont fait partie de ce passé. La plupart d’entre eux ne sont plus bien entendu. Certains demeurent encore et sont toujours à l’écoute même s’ils sont très éloignés leurs cœurs par contre sont si proches des lieux qui les ont vus naître, grandir, vieillir et puis, à contre cœur, un jour, obligés de partir quoiqu’ils auraient pu ne pas partir comme certains qui ont préféré rester. »
Nous dit l’Auteur : Mohamed Laïd ATHMANI, dans son préambule.
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